Jeuthème Passionnément !

Je t’attends dans les draps de l’Amour

Eclairée par le simple reflet du Jour

M’offrir à toi au gré de nos plaisirs

Gouter ce nectar objet de désir

Je t’appelle comme une douce complainte

Des gémissements jouissance non feinte

Mélodie de larmes, orgasmes partagées

Extase devant notre intimité sacrée

Je te découvre si sensuelle, mon Ange

Au-delà de l’envie, au-delà de nos mélanges

Nos corps s’emmêlent, ivresse contrôlée

Incroyables moments de sensations décuplées...

Même,
si tout est gris dehors.
Même,
si le passé s'endors.
Même,
si tout espoir est mort
Je t'aimerais encore.

Même,
si on est plus d'accord.
Même,
si on rêvait trop fort.
Même,
si on délit nos corps.
Je t'aime, je t'aimerais encore.

Sans toi,
je me perds quelque fois.
J'ouvre si grand mes bras,
au néant.

Sans lui,
j'ai perdu et appris.
Laisser des morceaux de vies,
au néant.

Même si le temps nous laisse.
Alors,
je sais ceux qui nous blessent.
Encore,
ce vide qui nous reste,
à chacun de nos gestes.
Ceux regrets, qui nous manquent.
C'est la moitié de nous.

C'est le temps des couleurs.
Même,
c'est qu'on a de plus fort.
Même,
qu'on est raison ou tort.
Je t'aime, je t'aimerais encore.

Même,
en changeant de décors.
Même,
si j'avais des remords.
Je t'aimerais encore.

Sans toi,
je me perds quelque fois.
J'ouvre si grand mes bras,
au néant.

Sans lui,
j'ai perdu et appris.
Laisser des morceaux de vies,
au néant.

Même si le temps nous laisse.
Alors,
je sais ceux qui nous blessent.
Encore,
ce vide qui nous reste,
à chacun, de nos gestes.
Ceux regrets, qui nous manquent.
C'est la moitié de nous.

Ce vide qui nous reste,
à chacun de nos gestes.
Ceux regrets qui nous manquent.

Même si le temps nous laisse.
Alors,
je sais ceux qui nous blessent.
Encore,
ce vide qui nous reste,
à chacun, de nos gestes.
Ceux regrets, qui nous manquent.
C'est la moitié de nous.

Si l'un de nous s'en sort.
Même,
en changeant de décor.
Même,
si j'avais des remords.
Je t'aimerais encore.

C’est comme un souffle léger

Si doux un petit courant d’air

Mon esprit vif en éveil, obsédé

Je frémis impatiente, c’est clair.

Mon corps peu à peu s’électrise

Avide d’être goûtée enfin

La caresse de tes doigts me grise

Ta langue se fraye un chemin

J’attends ma petite mort

Moment divin, je suis étourdie

Pantelante, impatiente c’est si fort

Je crie, mes palpitations sont infinies…