Fais de mes désirs des averses
Déluge moi de tes caresses
Inonde mon corps tel un tsunami
Fais chavirer mon être en folie
Tempête mes courbes d’envies
Orage fait rage de nos sens réjouis…
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Fais de mes désirs des averses
Déluge moi de tes caresses
Inonde mon corps tel un tsunami
Fais chavirer mon être en folie
Tempête mes courbes d’envies
Orage fait rage de nos sens réjouis…
Quelles soient maudites ou désirées
Comme une lame bien aiguisée
Tel un abime, ou la destinée
Mes larmes ne sont pas déguisées
Ce ne sont que des notes oubliées
Sur une musique passionnée
Toute une trame écrite, noyée
Dans nos chagrins et peines révélés
Des phrases du dédale vivant du passé
Est-ce qu’un jour la vérité saura effacer
Elle est nourrie par nos erreurs, tout en fragilité
Et douceur, rendons nos armes étrangeté
De la vie après des doigts enlacés
Elle s’enfonce au fond des cœurs brisés
Je reçois tes mots et mes yeux me font pleurer
Un parfum de virginité de joue pour l’éternité.
Pour l’an nouveau prendre douze mois, nettoyer chaque jour de tout ressentiment, haine, jalousie divers et variés…
Rendre tous ceci désinfectés, lavés de fond en comble …
A présent, décider de découper l’Année en tranche de 28, 30 et 31 morceaux choisis avec soin …
Et, très doucement mais délicatement incorporer pour chaque journée :
Puis mélanger avec de très généreuses proportions d’espoir, fidélité, générosité de cœur et douceur des mots et des gestes …
Pour finir l’assaisonnement sera un soupçon de rêves, une assiette de sourires avec un verre de Bonne Humeur journalière. Pour une conclusion orgasmique exceptionnelle.
A consommer sans modération dans un bol d’Amour, d’Altruisme, de Tendresse…
Décorer d’un des plus beau sourire même si l’on est triste …
Il y a 365 jours pour déguster avec ceux qui méritent votre Amour profond ou votre Amitié sincère …
Tout ce qui nous avait rapprochés
L'un à l'autre tous les jours où l'on s'est aimé
Hiver comme Eté, au fil des saisons
Quand le Bonheur était à l'unisson
Va t'il falloir l'effacer au rang des souvenirs
Alors que l'on essaie de prolonger les plaisirs
Au fil de nos envies et moult désirs
Mais cette Année retour à la réalité pour finir
Par ouvrir son cœur, le rêve d'avenir
S'est envolé, tout change, évolue pour mourir ....
Cosy.
Le peintre a décidé de changer l’année
2008 il a transformé partout dans le monde
Il a pris ses gouaches et s’est appliqué
Sans sourciller, a commencé dans une grande ronde
Une œuvre annuelle, le rouge il a joué
D’une petite tâche sanglante, le noir pour la nuit
Le jaune pour la luminosité ambiante est arrivé
Puis il s’est arrêté, admirant son tableau comme un fruit
Bien mûr la vie prenait une belle couleur
L’an nouveau pouvait se pointer sans ambages
La planète pouvait applaudir de tout son cœur
2009 arrivait avec ses nombreux bagages…
Et juste nos bouches comme œuvres de plaisir
Nous deviendrons des amantes impudiques
Jouant de nos corps pour de beaux souvenirs
Une danse de l’espoir, enivrante, aux mil répliques …
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